27 engagés à ce jour !
(06/03/2006) André
Péan est largement satisfait pour cette dixième saison de Challenge Citroën
Rallycross, dont la troisième sur des C2 VTS 16V. Vingt-huit pilotes ont
envoyés leur bulletins d’engagement. Il reste donc deux places… La
liste comporte 28 engagés, plus exactement 27, puisque qu’une des C2 sera
pilotée successivement par deux pilotes (Andrew Jordan et Arnaud Deniau). Quelques
nouveaux rejoindront la « vieille garde » : Isabelle Poncet,
Brice Brouard, Julien Laissus (expérience en Formule Renault, Formule France et
karting), Sébastien Mercier, Laurent Fresnais (qui était déjà là en 97), Andrew
Jordan (jeune pilote anglais de 17 ans, champion d’Angleterre junior de rallycross
sur une Mini Cooper en 2005 et qui a déjà pilotée la Ford Focus
« WRC » de Will Gollop), Henri Bourel de la Roncière (7me du
Championnat de France de D2 –2005 sur une Peugeot 206 RC) Vincent Jean-Baptiste
et Christian Mouillevois, dont ce sera le retour. (voir liste dans AFOR, Liste
des engagés C2) C2 Rallycross (07/02/2006) André
Péan, le responsable du Challenge Citroën C2 Rallycross a déjà reçu 15
engagements ferme pour la saison 2006 : Samuel Peu, Thierry Boulanger,
Bertrand Perraudin, Julien France, Nicolas Gouriou, Nicolas Delaunay, Julien
Eberlé, Véronique Patier, Alexandre Anne, Eric Maillard, Christian Mouillevois
(le retour ! ), Brice Brouard (nouveau venu en Challenge C2), Julien
Laissus (qui vient du karting et de la Formule Renault), Isabelle Poncet
(nouvelle venue). Sept autres pilotes ont confirmés leurs engagements: Stéphane
de Ganay, Bernard Riou dit Le Menhir, Marie-Laure Lemonnier, Anne-Sophie
Lemonnier, Guillaume Triquet, Laurent Chasseuil et Aurélie Salviat. Pour
l’instant Alexandre Mollard est incertain. Quelques
dossiers sont sur le point d’aboutir : Henri Bourel de la Roncière (ex
pilote 2005 de l’usine PSA de Rennes La Janais), Julien Piguet (sous la
structure de Sébastien Seveau), un certain Chaboso, Fabien Grosset-Janin (le
petit frère de Jérôme, mais attendons qu’il ait… 16 ans !) et
l’expérimenté Laurent Fresnais dont ce serait le retour. Si
tout le monde venait, il y aurait un plateau de 29 pilotes dont 9
nouveaux ! Il
resterait donc… une place au 6 février, puisque le nombre maximum est toujours
fixé à 30 participants. Un pilote anglais de 17 ans, triple Champion
d’Angleterre junior sur une Mini Cooper pourrait être le trentième…
Véronique Patier
(24/01/2006) Seconde
du Challenge Citroën C2 féminin en 2003, 2004 et 2005, Véronique Patier repart
pour une quatrième saison. Avec le titre fin 2006 ?
Catherine Planche
(24/01/2006) Première
du Challenge féminin en 2003, 2004 et 2005, Catherine Planche fait transformer
en version bitume sa C2 Rallycross pour faire quelques manches du Challenge
Citroën C2 rallye en 2006.
Guillaume Triquet
(24/01/2006) Onzième
du Challenge C2 Rallycross 2005, Guillaume Triquet vient de vendre sa C2 à
Aurélie Salviat. Guillaume fait construire par le Team Trajectoire 87 une
nouvelle C2 toute neuve pour la saison 2006.
C2 Rallycross à louer
(24/01/2006) Team
Trajectoire 87 a une C2 Rallycross à louer, l’ancienne d’Aurélie Salviat.
Appeler Bob au 05 55 31 34 12 ou 06 16 09 22 45.
André Péan (15/12/2005) Le
GO du Challenge Citroën nous a donné son calendrier des 6 épreuves inscrites au
calendrier 2006 : Mayenne, Faleyras, Châteauroux, Kerlabo, Lohéac et Essay
2. L’épreuve suppléante est Dreux.
Guillaume Bergeon
(20/10/2005) Vainqueur du Challenge Citroën C2 Rallycross 2005, Guillaume Bergeon, 22 ans, fera deux rallyes (Cévennes, Var) en fin du saison. Il est en pourparler pour monter en D1 ou D3 l’an prochain…
Stéphanie Anne
(20/10/2005) L’épouse d’Olivier Anne a décidé d’arrêter de courir en 2006.
Catherine Planche
(20/10/2005) Après deux titres en Challenge féminin, Catherine Planche veut retourner en rallye sur terre en 2006.
Arnaud Deniau
(20/10/2005) Le Mayennais Arnaud Deniau a vendu sa Citroën C2 à Ivan Bédouet, le pilote de la Peugeot 306 Maxi F2000 de Division 4. Cette C2 sera en location. Tél : 02 43 04 18 25 (Ivan Bédouet)
Les pilotes du Challenge
C2 Rallycross 2005 Alexandre Anne (30/04/83)
– 14. Deauville – N° 22 Première année de sport
automobile pour le frère cadet – de neuf ans – d’Olivier Anne, pilote de la
Xsara « esprit WRC » en Division 1. « Essayer de suivre ses traces n’est pas évident, je suis là pour
acquérir de l’expérience avant tout, sans brûler les étapes ! »,
aime à rappeler Alexandre qui a été bien conseillé par son frère pour rejoindre
le rang des Formules de Promotion Citroën. Le sport automobile au sein de la
famille Anne est une véritable institution, transmise de père en fils. « Papa courait en Rallye régional avec des
voitures mythiques comme des Alpine ou des Porsche. Nous avons été bercés au
son de la mécanique et avons découvert le Rallycross sur le tard, il y a à
peine 5 ans… ». Christian Baudré ( 28/09/68)
– 75. Paris - N° 28 Adepte des Formules de Promotion Citroën depuis
1995 « pour son rapport prix /
performances / convivialité », Christian Baudré s’est essayé à toutes
les disciplines proposées (Circuit, Glace, Terre et Asphalte). Régulièrement
aux avant-postes, ce chef d’entreprise Parisien s’ est déjà imposé avec la
C2, c’était à Dreux l’an dernier. Mais son meilleur souvenir reste sa victoire
au Rallycross de Lohéac en 1999 avec la Saxo. Un succès - obtenu de main de
maître devant 50.000 spectateurs en furie - qu’il n’est pas près d’oublier… Guillaume Bergeon (07/06/83) – 33. Gauriaguet
– N° 20 Premier vainqueur de la saison 2005 à Essay, puis
ensuite à Châteauroux, Guillaume Bergeon – même s’il est encore premier chevron
cette année – n’est pas à classer dans la colonne des débutants. Sa première
course remonte à mi 2001 « avec une
saxo challenge dans une épreuve de Coupe de France à Bourges ». Le
Bordelais se fait remarquer et monte d’entrée sur le podium. Dans la foulée, il
rejoint les rangs du Challenge Saxo Rallycross « pour son coût attractif » mais n’aura pas le temps
d’apprécier ses premiers tours de roues à Kerlabo. « J’ai fais un tonneau au warm up sans même avoir eu l’occasion de boucler
un tour complet ! ». Guillaume a depuis fait ses gammes et joue
souvent les premiers rôles… Thierry Boulanger (06/09/71) – 29.
Plougonven – N° 2 L’histoire de Thierry Boulanger
débute dans son village natal, à Plougonven dans le Finistère. « Un vrai hasard ! Une course de 2cv
cross… mon père s’y est essayé, puis j’ai suivi… ». Sacré champion de
France en 1994 et 95 dans la discipline, la suite logique pour Thierry passe
par le Rallycross « comme Jean-Luc
Pailler quelques années plus tôt ! ». Un an et demi de groupe N
avant que le breton ne débute en Challenge Saxo en 1998. Vainqueur en 2001, il
se tourne vers le Trophée Saxo T4 « faute
de pouvoir réglementairement continuer en Saxo Rallycross ». Mais le
Rallye n’est pas sa tasse de thé, pas vraiment son truc. « J’ai fait trois courses avec un ami qui a
bien voulu me copiloter. Tous deux étions novices, nous manquions de repères,
je n’aurais pas du faire ça à 30 ans... ». Retour donc dans la foulée
en Saxo Rallycross « après avoir
bénéficié d’une dérogation ». Résultat, Thierry termine 2e
du Challenge en ayant manqué les deux premières courses. Puis il rempile à
nouveau en 2003 où il se classe 3e du classement général final. L’an
dernier enfin, pour ses débuts en C2, il s’impose à Kerlabo et se classe encore
3e du Challenge. « Je
préfère me battre pour un podium au sein d’une Formule de Promotion plutôt que
dans une autre discipline… ». Peu importe le flacon pourvu qu’on ait
l’ivresse ? Telle en tout cas semble être la devise de Thierry. « Au delà de la convivialité du Challenge et
d’une réglementation bien établie, le challenge ne consacre pas forcément celui
qui dispose le plus d’argent… ». Laurent Chasseuil (11/01/66)
– 91. Bouray / Juine Au delà d’être le fils
de Guy Chasseuil – ancien Champion de France des rallyes et pilote d’endurance
– Laurent est avant tout un vrai passionné de sport automobile, qui jusque là,
faute de temps, n’avait pas vraiment goûté aux joies de la compétition. « J’ai fait quelques courses de Coupe Clio en
1991 en pur amateur, me rendant sur les circuits par la route… etc. Puis j’ai
disputé deux rallyes en 1995 avec une Berlinette Hommell, voici pour résumer
mon palmarès… », précise Laurent. Ami de Sébastien Seveau – avec qui
il partage de temps en temps quelques cascades pour le cinéma – ce dernier lui
parle du Challenge Citroën C2 Rallycross «et
le tour était joué ! ». Ainsi Laurent Chasseuil dispute en 2005
sa toute première vraie saison en compétition au sein d’une formule « où l’infrastructure est digne des grandes organisations,
qui plus est, avec des gens sympathiques… ». Stéphane De Ganay (06/06/80) – 18. Lantan –
N° 3 En Rallycross, rares sont les pilotes dont les
parents ne font pas partie de la grande famille du Sport Automobile. Stéphane
De Ganay pourtant est bien de ceux là ! « Je suis un passionné de voiture, de mécanique mais le sport auto était
pour moi il y a peu de temps encore un rêve inaccessible… ». C’est à
la base un projet d’école mené conjointement avec son ami Nicolas Vajsman qui
lui a mis le pied à l’étrier. « Le
Challenge représente pour nous la formule idéale. D’abord par son prix, mais
intéressant également pour organiser sur le terrain des opérations avec nos
partenaires. Glisse d’un côté, « grip » de l’autre, le tout sur un
circuit devant des milliers de spectateurs, nous avons trouvé notre voie… ».
Arrivé dans le Challenge Saxo en 2002 après avoir racheté la voiture d’Eric
Guillemette, Stéphane dispute 3 courses en 2003 – en alternance avec Nicolas
Vajsman – avant d’acquérir « en
faisant un bel emprunt » une C2 début 2004, pour le coup d’envoi de la
nouvelle formule de promotion Citroën en Rallycross. Depuis, le pilote du Cher
n’a pas arrêté de progresser, il est régulièrement parmi les hommes de tête… Nicolas
Delaunay
(10/05/1975) – 37. Cinq Mars la Pile – N° 19 Ses premières combinaisons, Nicolas Delaunay les a
usées, dès son plus jeune âge, dans un baquet de karting. Il a ensuite gravi un
à un les échelons jusqu’à son intégration en équipe de France 125cc avant de
stopper, faute de budget, une prometteuse carrière fin 96. Tenter un volant
dans une école de pilotage reste alors sa seule chance pour espérer passer à
l’automobile. « Toujours dans le
groupe des meilleurs sans malheureusement pouvoir m’imposer… »,
rappelle Nicolas. Sa venue dans les Formules de Promotion Citroën, il la doit
en fait à un concours de circonstances. « J’ai échangé ma voiture avec un ami qui préférait le circuit plutôt que
le Rallycross ! Et du coup, je suis passé de la coupe 206 au
challenge Saxo…» . Depuis, Nicolas est logiquement devenu un des
adeptes de la C2, toujours performant mais « sans pour l’instant pouvoir concrétiser, la faute à un manque certain
de réussite… ». Arnaud Deniau (12/08/69) – 53. Changé –
N° 12 Grand passionné de voitures de sport, Arnaud Deniau
est aussi sur la piste un véritable « gentleman driver ». Ses débuts,
le mayennais les effectue en autocross régional « quand mon père est devenu sponsor de Laurent Terroitin. ».
Très vite, il s’aperçoit que cette discipline devient pour lui plus onéreuse
qu’attendue. « L’arrivée du
Challenge C2 a été pour moi une vraie opportunité. Laurent [Terroitin] me
prépare la voiture et la Formule me correspond bien… ». Finies donc
les belles voitures de sport ! « J’ai
tout vendu ! La maîtrise du sujet est désormais sur la piste. Mon
comportement a changé, pour l’anecdote, depuis que je suis dans le Challenge,
je n’ai pas pris la moindre contravention alors que je parcours plus de
150 000 km/an ! ». Bertrand Divaret (30/04/80) – 61. Merri –
N° 6 Son père était un féru de Rallyes régionaux
« avec une Rallye 2 ». Lui,
était plus attiré par le circuit et par le Rallycross en particulier « de part la proximité des épreuves ».
Ainsi débute l’aventure de Bertrand Divaret en sport automobile et plus
précisément par le Challenge Saxo en 2001. « Le format sprint des épreuves me convient bien. Le challenge est une
excellente école de pilotage car nous sommes tous à armes égales… ».
Son meilleur souvenir reste ainsi sa victoire avec la Saxo à Essay en 2003. Le
moins bon en revanche : « m’être
battu jusqu’au bout pour le podium général final l’an dernier et échouer malheureusement
à la 6e place. Cela restera pour moi une grande désillusion… ». Julien
Eberlé (15/02/81) – 77.
Courtry – N° 24 Mécanicien de formation,
ce jeune francilien effectue cette année ses grands débuts en sport automobile.
Un vrai débutant, sans aucune expérience de la course « si ce n’est que quelques épreuves en karting
de location pour le compte d’un challenge inter-entreprises ». Son
parcours est atypique et surtout, ambitieux ! « J’ai travaillé pendant 3 ans en assistance Rallycross chez Christian
Lambert… avec au fond de moi, une très grande envie de courir !
». Séduit par le challenge C2, Julien Eberlé a donc « cassé sa tirelire » pour disputer sa première saison de
compétition au sein d’une formule qu’il qualifie lui même de « jeune, dynamique, attirante et
abordable au niveau financier ! ». Et d’entrée de jeu, Julien
s’est fait remarquer. Il est aujourd’hui l’un des plus rapides en performance
pure, reste à lui d’acquérir un brin de régularité supplémentaire, gage de
réussite en Rallycross. Julien
France
(14/02/77) – 75. Paris - N° 25 Directeur d’une PME de transport, Julien France
n’est pas un néophyte du sport automobile. Son père, Jean-Philippe - un des
principaux animateurs à l’époque des coupes 104 et Samba en rallye – et son oncle,
Pierre Alain – bien connu dans le petit monde du Rallycross pour ses innombrables
perfs en D3 – lui ont transmis la passion de la course. «Plus encore que mon père c’est mon oncle qui m’a mis le pied à
l’étrier », raconte Julien. «Il
avait une structure et quand la coupe Saxo a vu le jour en 1997, il m’a bien
aidé à débuter… ». Son meilleur souvenir, une victoire à Lohéac en
2001 «à l’occasion de la manche française
du Championnat d’Europe devant plus de 55 000 spectateurs, un souvenir
mémorable… », se souvient Julien. Puis un an avant que C2 ne remplace
Saxo, Julien France s’est séparé de sa voiture de course et a changé d’horizons.
Il est aujourd’hui de retour dans la catégorie – avec la voiture qui appartenait
précédemment à Frédéric Souffez – pour « l’ambiance du challenge et surtout cette devise chère à André
Péan : Rigueur, Sportivité et Convivialité… ». Nicolas Gouriou (05/01/69) – 29. Hanvec – N° 7 Il y a des histoires qui ne s’inventent pas, des
similitudes de la vie – réelles – qui mènent droit au Rallycross. « Je suis originaire du même village que
Jean-Luc Pailler… et aussi, un véritable passionné du sport auto. Le pas était
alors plus facilement franchissable… ». Après avoir
« goûté » au Follcar pour débuter, Nicolas Gouriou se lance dans la
foulée dans le bain des Formules de Promotion Citroën avec la Saxo (4 saisons
consécutives). Vainqueur à Kerlabo en 2002, année où il termine également 3e
du classement général final – son meilleur résultat jusque là – Nicolas, dans
le paddock du Rallycross Français, est celui qui, au sein de sa
structure familiale, cumule les fonctions. A la fois
pilote-mécanicien-logisticien, le vainqueur de Faleyras 2005 se plaît dans la
discipline. « Les courses sont très
disputées, je prends du plaisir à piloter, nous avons tous les mêmes réglages,
n’est-ce pas là l’essentiel ? ». Ludovic Hamel
(20/08/70) – N° 9 C’est au départ une exposition de voitures de
course, organisée par l’écurie du Thymerais en Eure et Loire, qui,
indirectement, plonge Ludovic Hamel dans la discipline. Il y a ensuite « l’ami Philippe Chanoine » qui, en
fin connaisseur, va l’orienter. Entre 1998 et 2001, Ludovic « touche un peu à tout » et à toutes
les catégories, y compris la Division 1 « l’espace d’une course » avant d’abdiquer, « faute de budget ». Année sabbatique
en 2002 puis karting avec le Trophée Smile en 2003, Ludovic est depuis l’an
dernier de retour en Rallycross « en
challenge C2, la formule idéale côté budget ! ». Anne-Sophie Lemonnier (22/06/83)
– 35. Noyal / Vilaine – N° 16 Etudiante en faculté de
droit où elle prépare une maîtrise, Anne-Sophie Lemonnier est avant tout la
fille cadette d’Hervé Knapick. Bercée dès son plus jeune âge dans les paddocks
de Rallycross ou « papa sévit depuis
près de 20 ans », Anne Sophie a débuté l’an dernier en Challenge C2,
après s’être essayée quelques mois auparavant au volant d’une saxo. « La coupe des dames, c’est génial. Axer
cette formule de promotion vers les filles, que demander de mieux, Citroën l’a
fait ! ». Et Anne-Sophie se fait plaisir, bien qu’au départ, elle
ait moins l’esprit compétition que sa sœur Marie-Laure. Son objectif cet année,
un podium « et si possible, en
compagnie de ma sœur aînée. Le rêve non ? ». Marie-Laure Lemonnier (23/09/81)
– 35. Noyal / Vilaine – N° 15 Diplômée d’une Ecole
supérieure de gestion et de commerce international à Paris, spécialisée dans le
marketing et la communication, Marie-Laure Lemonnier est une « spectatrice privilégiée du Rallycross depuis
plus de 15 ans ». Fille aînée d’Hervé Knapick, sœur d’Anne-Sophie,
Marie-Laure est aussi une grande passionnée. « Spectateur c’est une chose… mais lorsqu’on peut devenir acteur, c’est
encore mieux ! En 2003, ma sœur et moi avons partagé une Saxo mais ça n’a
pas duré ! ». Et du coup, lorsque le Challenge C2 a vu le jour
l’an dernier, nous avons franchi le pas toutes les 2. « La course en famille, c’est notre
graal… ». Son seul regret aujourd’hui, et il est réciproque, « ne pas être montée sur un podium en
compagnie de ma sœur », souligne celle qui l’an dernier s’est imposée
à Lohéac pour la toute première fois de sa jeune carrière… Stéphanie
Anne
(17/03/1977) – 28. Nogent le Rotrou – N° 5 Fille de Michel – qui a
mis un terme à sa carrière en fin de saison dernière après 27 ans de Rallycross
– Stéphanie Liger n’est donc pas arrivée par hasard dans la discipline. « J’ai passé ma jeunesse dans les
paddocks. Et puis un jour, je me suis dit : pourquoi pas moi ? , en
voyant les courses réservées aux féminines dans le cadre du Challenge Citroën ».
Ainsi en cours de saison 2003 débute l’aventure pour Stéphanie. « Après avoir pris des cours de pilotage et
acquis une Saxo pour un prix abordable, j’ai participé aux deux dernières
épreuves ». Ce coup d’essai ne restera pas sans suite puisque dans la
foulée, celle qui avant la fin de l’année deviendra Madame Olivier Anne,
investit dans une C2. Première course et premier podium à Kerlabo début 2004. Depuis
Stéphanie progresse chaque week-end « au
sein d’une formule idéalement structurée pour le faire ». Son
objectif : «Tenter d’en gagner une
avant la fin de la saison 2005… ». Eric Maillard (04/08/78)
– 72. Le Mans – N° 11 Originaire de Lorraine,
Eric Maillard a longtemps suivi les Rallyes en spectateur avec son père et son
frère. « J’étais énervé de les voir
courir ! », plaisante t’il aujourd’hui, maintenant que lui aussi
assouvit sa passion. « Du
Rallycross, je ne connaissais que Lunéville, et de la mécanique, pas grand
chose… ». C’est ensuite dans une publicité dans la revue spécialisée
« Echappement » qu’Eric Maillard apprend que Citroën organise un
Challenge en Rallycross. « C’était
en 2003, Laurent Chartrain vendait sa Saxo. Nous avons rapidement fait affaires
et de là est partie l’aventure. Puis j’ai monté une C2 l’an dernier et depuis,
je me régale… », raconte celui qui a signé la pôle position à Faleyras
en début de saison. Pris par son travail, Eric n’a pas vraiment le temps de se
consacrer comme il le souhaiterait à la discipline mais s’est déjà juré de
s’organiser autrement l’année prochaine… Alexandre Mollard (02/08/85)
– 69. Charbonnières les bains – N°17 Le benjamin du plateau
est Lyonnais… avec déjà derrière lui une grande expérience en Karting. Après 9
années de compétition au niveau régional puis national, avec de beaux trophées
en poche, Alexandre Mollard se tourne logiquement vers l’automobile. « La monoplace était un souhait, mais
irréalisable pour moi côté budget… ». C’est alors qu’il fait la connaissance
de Jean-Jacques Guibal – la voix du Rallycross – lequel lui parle de la
discipline. Delors, tout s’enchaîne très vite. « Tout juste mon permis de conduire en poche, j’ai débuté avec la C2 en
2004 à Kerlabo ». Pas vraiment un bon souvenir pour lui ! « Premier tour et premier tonneau… ça calme
d’entrée ! », rappelle t’il. Mais l’apprentissage et l’expérience
ne font-ils pas partie du jeu au sein des Formules de Promotion ? « Evidemment et ce n’est pas tout »
souligne Alexandre. « C’est une
école à part entière, où l’ambiance est fort sympathique malgré l’esprit de
compétition qui nous traverse tous… ». Véronique Patier (28/11/80)
– 87. Saint-Julien – N° 10 « Merci
papa » est lisiblement inscrit sur le capot moteur de Véronique. C’est
ainsi que la fille d’André Patier – qui sévissait dans la discipline il y a 20
ans – tient doublement, et à juste titre, à remercier son paternel. « Pour m’avoir transmis le goût de la
compétition… et en me permettant aujourd’hui d’assouvir cette passion
transmise… ». Véronique compte parmi les principales animatrices de la
coupe des dames, avec déjà un solide bagage. « J’ai débuté en Cross Car à tout juste 16 ans. Puis il y a 3 ans, j’ai
été séduite par la Formule de Promotion que proposait Citroën »,
raconte t’elle. Et d’entrée de jeu, Véronique s’affirme avec la Saxo, comme en
atteste notamment sa première victoire à Essay en 2003. L’an dernier, avec la
C2 cette fois ci, elle s’est encore imposée à Essay – et à Kerlabo - mais à
manqué de peu le titre à Dreux lors de la dernière course, « une mésaventure qui restera sans doute comme
mon plus mauvais souvenir en compétition ». Bertrand Perraudin
(16/11/64) – 58. Château-Chinon – N° 4 Tout juste le permis en
poche, un copain lui revend à l’époque « la voiture idéale pour débuter ». Douze années de 2Cv Cross –
dont un titre obtenu en 1990 – et un an et demi de Cross Car, voici pour
résumer la carrière de Bertrand Perraudin avant qu’il ne fasse son entrée au
sein des Formules de Promotion Citroën il y a 7 ans. « Au départ, j’ai acheté une Saxo pour faire
le Trophée Andros. J’adorais la terre, logique donc que je me sois ensuite
tourné vers le Rallycross ». Dans le paddock, Bertrand est sans aucun
doute l’un des plus fidèles « lieutenants » des Formules de Promotion
de la Marque au chevron. « J’ai
toujours été Citroën depuis des années, il n’y a pas de raisons pour que cela
change aujourd’hui… ». Catherine
Planche (22/06/76)
– 75. Paris – N° 18 Ses parents couraient ensemble en Rallye. Puis son
père, pilote éclectique par excellence, s’est tourné vers le Rallycross.
« Cette passion m’est donc venue
tout naturellement », affirme Catherine Planche, la reine incontestée
de la coupe des dames depuis 2003. Elle aussi dispose aujourd’hui d’un bagage
sport mécanique sympathique. 5 ans de karting, puis autant de saisons en
rencontres Peugeot Sport avant qu’elle ne fasse ses débuts avec la Saxo en
2003. « Vu que Citroën
proposait une catégorie réservée au féminines, je n’ai pas hésité un seul
instant. D’autant que la formule est très accessible financièrement »,
précise Catherine, qui cette année a déjà remporté les deux premières courses
de la saison à Essay et à Faleyras. Patrick Portier (20/01/51) – 80. Estrées
/ Noye – N° 32 Difficile d’évoquer le nom de Patrick Portier sans
avant tout rendre hommage au regretté Fabien Peauchet, jeune prodige du karting
français qui pour ses débuts en automobile avait littéralement bousculé la
hiérarchie en Challenge Saxo Rallycross. Depuis sa tragique disparition dans un
accident de la circulation, Patrick – son père mais aussi mentor, mécanicien…
etc. - à besoin comme il le dit lui même « de
s’occuper la tête et l’esprit. Cela fait maintenant quatre ans que je roule,
j’ai gardé les mêmes couleurs, la même décoration et le même numéro de course
que celui de Fabien ». Champion de France Groupe N de la Montagne ( 2e
division) en 1990 et 92, Patrick est aujourd’hui devenu un grand fidèle des
Formules de Promotion Citroën. Bernard Riou (28/12/51) – 29.
Riec / Belon – N° 8 Dans le paddock, Bernard Riou est surnommé le
« vieux menhir » par André Péan, le responsable du Challenge C2
Rallycross chez Citroën Sport. Pourquoi un tel surnom ? Tout simplement
par sa fidélité, sa longévité dans la formule – il a connu la glace dès 1996
avec la Saxo avant de passer en Rallycross depuis 1997 - et surtout, par ses
performances toujours « vaillantes » en compétition, pour preuve, son
podium obtenu en ce début de saison 2005 à Faleyras ! « J’aime me battre contre les jeunes qui en
veulent ! », précise Bernard. « A chaque course, nous sommes une vingtaine de pilotes groupés dans la
même seconde, le spectacle est superbe. Lorsque les C2 sont en piste, il n’y a
personne à la buvette », plaisante t’il. « Je me régale et tant que ce sera le cas, je serai toujours là… »,
rappelle t’il avec son enthousiasme légendaire. Aurélie Salviat (23/02/81)
– 85. Limoges – N° 27 Nouvelle arrivante chez
les féminines, venue de la Coupe de France des Rallyes, Aurélie Salviat s’est
essayée au sport automobile « par
passion héréditaire ». Etudiante en faculté de sciences, Aurélie a
souhaité suivre les traces de son père – pilote d’autocross, de course de côte
puis de Rallye – parce qu’elle l’a au début copiloté. « Etre passager procurait déjà des sensations, mais au volant rien
de comparable … ». Après 2 saisons de rallye amateur « où le problème était de garder la même
copilote à cause des emplois du temps », Aurélie s’est tournée cette
année vers le Rallycross « après un
essai réussi sur le circuit de Châteauroux ». Frédéric Souffez (31/03/77)
– 29. Pont Aven – N° 29 C’est en Rallye régional
avec une Saxo Groupe N que Frédéric Souffez fait ses débuts en sport
automobile. Après quatre saisons et malgré quelques « bonnes victoires de classe », Frédéric doit cependant arrêter,
faute de budget. Ce sont ensuite les frères Riou qui lui permettent de faire
ses premiers tours de roues en Rallycross avec une Saxo. « Rigueur, équité et convivialité, les maîtres
mots du challenge, me conviennent parfaitement », précise Frédéric. Amateur
par excellence, le breton a l’an dernier investi dans une C2 malgré un budget
limité. « J’arrive à faire une
saison avec le même train de pneu. Idem pour le moteur où nous le révisons
entièrement qu’une fois l’an… ». Guillaume Triquet (06/01/83)
– 95. Argenteuil Ancien gymnaste de haut
niveau – Champion de France au sol en 1991 – Guillaume Triquet s’est lancé en
Rallycross, comme beaucoup d’autres pilotes, par passion de l’automobile et par
filiation. « Mon père courrait dans
la discipline et j’ai eu envie de faire la même chose… », témoigne le
parisien. « J’avais fait un peu de
challenge Yamaha en Karting mais j’ai toujours été attiré par
l’automobile », précise t’il. C’est ainsi qu’il débute en Saxo
Rallycross en 2003, « la Formule
idéale côté budget ». Adepte désormais de la C2, ses premiers tours de
roues n’ont cependant pas été faciles, l’anecdote fait aujourd’hui partie des souvenirs.
« J’ai effectué 5 tonneaux à Kerlabo lors
de la toute première course l’an dernier… je ne pouvais pas faire mieux – ou
pire - pour commencer la saison… ». Nicolas Vajsman (01/08/78)
– 92. Asnières – N° 21 C’est en première année
de BTS que Nicolas Vajsman sympathise avec Stéphane De Ganay. « En un an, plus que des copains, on est
devenu des super amis », rappelle Nicolas. Puis d’une passion commune,
l’automobile, et plus particulièrement la compétition, les « deux complices » se sont attachés à
monter un véritable projet. « Sans
vraiment connaître, nous nous sommes lancés dans un truc de fous. En un mois,
on a démarché des partenaires, acheté une voiture, trouvé un Jumper et une
remorque, et sommes partis avec nos toiles de tente… ». Racontée,
l’histoire est touchante, vécue sans aucun doute plus captivante, les deux
hommes ont en tout cas franchi des frontières qu’ils ne connaissaient pas
jusque là et mis sur pieds « une
organisation source de motivation d’entreprises autour d’une discipline
attrayante et abordable qu’est le Rallycross… ». Samuel Peu (30/03/82) – 44. Varades
– N° 1 C’est en feuilletant le catalogue des Formules de
Promotion Citroën dans l’accueil du garage familial à Varades – ses parents
sont agents de la Marque - que Samuel Peu se découvre une nouvelle occupation…
voire une vocation. Ainsi Samuel investit dans une Saxo et disputera 4 saisons
de Rallycross, avant d’acquérir l’an dernier une C2. Sa première victoire
décrochée à Lohéac dans le temple du Rallycross reste pour lui un souvenir
inoubliable. « S’il y a une course à
gagner, c’est bien celle-ci, tant il y a du monde et des spectateurs
partout ! » raconte Samuel qui a manqué « De peu, excusez le jeu de mot », le titre l’an dernier.
Il fait cette saison parti des grands favoris, bien conscient que le vainqueur,
réglementairement, ne pourra revenir l’an prochain . « Je ne suis pas le seul dans ce cas là mais
je n’aime pas la 2e place. Gagner est cette année une priorité, pour
ensuite espérer gravir les échelons de la discipline… ». |