27 engagés à ce jour ! (06/03/2006)

André Péan est largement satisfait pour cette dixième saison de Challenge Citroën Rallycross, dont la troisième sur des C2 VTS 16V. Vingt-huit pilotes ont envoyés leur bulletins d’engagement. Il reste donc deux places…

La liste comporte 28 engagés, plus exactement 27, puisque qu’une des C2 sera pilotée successivement par deux pilotes (Andrew Jordan et Arnaud Deniau).

Quelques nouveaux rejoindront la « vieille garde » : Isabelle Poncet, Brice Brouard, Julien Laissus (expérience en Formule Renault, Formule France et karting), Sébastien Mercier, Laurent Fresnais (qui était déjà là en 97), Andrew Jordan (jeune pilote anglais de 17 ans, champion d’Angleterre junior de rallycross sur une Mini Cooper en 2005 et qui a déjà pilotée la Ford Focus « WRC » de Will Gollop), Henri Bourel de la Roncière (7me du Championnat de France de D2 –2005 sur une Peugeot 206 RC) Vincent Jean-Baptiste et Christian Mouillevois, dont ce sera le retour. (voir liste dans AFOR, Liste des engagés C2)

C2 Rallycross (07/02/2006)

André Péan, le responsable du Challenge Citroën C2 Rallycross a déjà reçu 15 engagements ferme pour la saison 2006 : Samuel Peu, Thierry Boulanger, Bertrand Perraudin, Julien France, Nicolas Gouriou, Nicolas Delaunay, Julien Eberlé, Véronique Patier, Alexandre Anne, Eric Maillard, Christian Mouillevois (le retour ! ), Brice Brouard (nouveau venu en Challenge C2), Julien Laissus (qui vient du karting et de la Formule Renault), Isabelle Poncet (nouvelle venue). Sept autres pilotes ont confirmés leurs engagements: Stéphane de Ganay, Bernard Riou dit Le Menhir, Marie-Laure Lemonnier, Anne-Sophie Lemonnier, Guillaume Triquet, Laurent Chasseuil et Aurélie Salviat. Pour l’instant Alexandre Mollard est incertain.

Quelques dossiers sont sur le point d’aboutir : Henri Bourel de la Roncière (ex pilote 2005 de l’usine PSA de Rennes La Janais), Julien Piguet (sous la structure de Sébastien Seveau), un certain Chaboso, Fabien Grosset-Janin (le petit frère de Jérôme, mais attendons qu’il ait… 16 ans !) et l’expérimenté Laurent Fresnais dont ce serait le retour.

Si tout le monde venait, il y aurait un plateau de 29 pilotes dont 9 nouveaux !

Il resterait donc… une place au 6 février, puisque le nombre maximum est toujours fixé à 30 participants. Un pilote anglais de 17 ans, triple Champion d’Angleterre junior sur une Mini Cooper pourrait être le trentième…

 

Véronique Patier (24/01/2006)

Seconde du Challenge Citroën C2 féminin en 2003, 2004 et 2005, Véronique Patier repart pour une quatrième saison. Avec le titre fin 2006 ?

 

Catherine Planche (24/01/2006)

Première du Challenge féminin en 2003, 2004 et 2005, Catherine Planche fait transformer en version bitume sa C2 Rallycross pour faire quelques manches du Challenge Citroën C2 rallye en 2006.

 

Guillaume Triquet (24/01/2006)

Onzième du Challenge C2 Rallycross 2005, Guillaume Triquet vient de vendre sa C2 à Aurélie Salviat. Guillaume fait construire par le Team Trajectoire 87 une nouvelle C2 toute neuve pour la saison 2006.

 

C2 Rallycross à louer (24/01/2006)

Team Trajectoire 87 a une C2 Rallycross à louer, l’ancienne d’Aurélie Salviat. Appeler Bob au 05 55 31 34 12 ou 06 16 09 22 45.

 

 André Péan (15/12/2005)

Le GO du Challenge Citroën nous a donné son calendrier des 6 épreuves inscrites au calendrier 2006 : Mayenne, Faleyras, Châteauroux, Kerlabo, Lohéac et Essay 2. L’épreuve suppléante est Dreux.

 

Guillaume Bergeon (20/10/2005)

Vainqueur du Challenge Citroën C2 Rallycross 2005, Guillaume Bergeon, 22 ans, fera deux rallyes (Cévennes, Var) en fin du saison. Il est en pourparler pour monter en D1 ou D3 l’an prochain…

 

Stéphanie Anne (20/10/2005)

L’épouse d’Olivier Anne a décidé d’arrêter de courir en 2006.

 

Catherine Planche (20/10/2005)

Après deux titres en Challenge féminin, Catherine Planche veut retourner en rallye sur terre en 2006.

 

Arnaud Deniau (20/10/2005)

Le Mayennais Arnaud Deniau a vendu sa Citroën C2 à Ivan Bédouet, le pilote de la Peugeot 306 Maxi F2000 de Division 4. Cette C2 sera en location. Tél : 02 43 04 18 25 (Ivan Bédouet)

 

 

 

 Les pilotes du Challenge C2 Rallycross 2005 (30 Aôut 2005)

Alexandre Anne (30/04/83) – 14. Deauville – N° 22

Première année de sport automobile pour le frère cadet – de neuf ans – d’Olivier Anne, pilote de la Xsara « esprit WRC » en Division 1. «  Essayer de suivre ses traces n’est pas évident, je suis là pour acquérir de l’expérience avant tout, sans brûler les étapes !  », aime à rappeler Alexandre qui a été bien conseillé par son frère pour rejoindre le rang des Formules de Promotion Citroën. Le sport automobile au sein de la famille Anne est une véritable institution, transmise de père en fils. « Papa courait en Rallye régional avec des voitures mythiques comme des Alpine ou des Porsche. Nous avons été bercés au son de la mécanique et avons découvert le Rallycross sur le tard, il y a à peine 5 ans… ».

Christian Baudré ( 28/09/68) – 75. Paris  - N° 28

Adepte des Formules de Promotion Citroën depuis 1995 « pour son rapport prix / performances / convivialité », Christian Baudré s’est essayé à toutes les disciplines proposées (Circuit, Glace, Terre et Asphalte). Régulièrement aux avant-postes, ce chef d’entreprise Parisien s’ est déjà imposé avec la C2, c’était à Dreux l’an dernier. Mais son meilleur souvenir reste sa victoire au Rallycross de Lohéac en 1999 avec la Saxo. Un succès - obtenu de main de maître devant 50.000 spectateurs en furie - qu’il n’est pas près d’oublier…

Guillaume Bergeon (07/06/83) – 33. Gauriaguet – N° 20

Premier vainqueur de la saison 2005 à Essay, puis ensuite à Châteauroux, Guillaume Bergeon – même s’il est encore premier chevron cette année – n’est pas à classer dans la colonne des débutants. Sa première course remonte à mi 2001 « avec une saxo challenge dans une épreuve de Coupe de France à Bourges ». Le Bordelais se fait remarquer et monte d’entrée sur le podium. Dans la foulée, il rejoint les rangs du Challenge Saxo Rallycross « pour son coût attractif  » mais n’aura pas le temps d’apprécier ses premiers tours de roues à Kerlabo. « J’ai fais un tonneau au warm up sans même avoir eu l’occasion de boucler un tour complet ! ». Guillaume a depuis fait ses gammes et joue souvent les premiers rôles…

Thierry Boulanger (06/09/71) – 29. Plougonven – N° 2

L’histoire de Thierry Boulanger débute dans son village natal, à Plougonven dans le Finistère. « Un vrai hasard ! Une course de 2cv cross… mon père s’y est essayé, puis j’ai suivi… ». Sacré champion de France en 1994 et 95 dans la discipline, la suite logique pour Thierry passe par le Rallycross « comme Jean-Luc Pailler quelques années plus tôt ! ». Un an et demi de groupe N avant que le breton ne débute en Challenge Saxo en 1998. Vainqueur en 2001, il se tourne vers le Trophée Saxo T4 « faute de pouvoir réglementairement continuer en Saxo Rallycross ». Mais le Rallye n’est pas sa tasse de thé, pas vraiment son truc. « J’ai fait trois courses avec un ami qui a bien voulu me copiloter. Tous deux étions novices, nous manquions de repères, je n’aurais pas du faire ça à 30 ans... ». Retour donc dans la foulée en Saxo Rallycross « après avoir bénéficié d’une dérogation ». Résultat, Thierry termine 2e du Challenge en ayant manqué les deux premières courses. Puis il rempile à nouveau en 2003 où il se classe 3e du classement général final. L’an dernier enfin, pour ses débuts en C2, il s’impose à Kerlabo et se classe encore 3e du Challenge. « Je préfère me battre pour un podium au sein d’une Formule de Promotion plutôt que dans une autre discipline… ». Peu importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse ? Telle en tout cas semble être la devise de Thierry. « Au delà de la convivialité du Challenge et d’une réglementation bien établie, le challenge ne consacre pas forcément celui qui dispose le plus d’argent… ».

Laurent Chasseuil (11/01/66) – 91. Bouray / Juine

Au delà d’être le fils de Guy Chasseuil – ancien Champion de France des rallyes et pilote d’endurance – Laurent est avant tout un vrai passionné de sport automobile, qui jusque là, faute de temps, n’avait pas vraiment goûté aux joies de la compétition. « J’ai fait quelques courses de Coupe Clio en 1991 en pur amateur, me rendant sur les circuits par la route… etc. Puis j’ai disputé deux rallyes en 1995 avec une Berlinette Hommell, voici pour résumer mon palmarès… », précise Laurent. Ami de Sébastien Seveau – avec qui il partage de temps en temps quelques cascades pour le cinéma – ce dernier lui parle du Challenge Citroën C2 Rallycross «et le tour était joué ! ». Ainsi Laurent Chasseuil dispute en 2005 sa toute première vraie saison en compétition au sein d’une formule « où l’infrastructure est digne des grandes organisations, qui plus est, avec des gens sympathiques… ».

Stéphane De Ganay (06/06/80) – 18. Lantan – N° 3

En Rallycross, rares sont les pilotes dont les parents ne font pas partie de la grande famille du Sport Automobile. Stéphane De Ganay pourtant est bien de ceux là ! « Je suis un passionné de voiture, de mécanique mais le sport auto était pour moi il y a peu de temps encore un rêve inaccessible… ». C’est à la base un projet d’école mené conjointement avec son ami Nicolas Vajsman qui lui a mis le pied à l’étrier. « Le Challenge représente pour nous la formule idéale. D’abord par son prix, mais intéressant également pour organiser sur le terrain des opérations avec nos partenaires. Glisse d’un côté, « grip » de l’autre, le tout sur un circuit devant des milliers de spectateurs, nous avons trouvé notre voie… ». Arrivé dans le Challenge Saxo en 2002 après avoir racheté la voiture d’Eric Guillemette, Stéphane dispute 3 courses en 2003 – en alternance avec Nicolas Vajsman – avant d’acquérir « en faisant un bel emprunt » une C2 début 2004, pour le coup d’envoi de la nouvelle formule de promotion Citroën en Rallycross. Depuis, le pilote du Cher n’a pas arrêté de progresser, il est régulièrement parmi les hommes de tête…

Nicolas Delaunay (10/05/1975) – 37. Cinq Mars la Pile – N° 19

Ses premières combinaisons, Nicolas Delaunay les a usées, dès son plus jeune âge, dans un baquet de karting. Il a ensuite gravi un à un les échelons jusqu’à son intégration en équipe de France 125cc avant de stopper, faute de budget, une prometteuse carrière fin 96. Tenter un volant dans une école de pilotage reste alors sa seule chance pour espérer passer à l’automobile. « Toujours dans le groupe des meilleurs sans malheureusement pouvoir m’imposer… », rappelle Nicolas. Sa venue dans les Formules de Promotion Citroën, il la doit en fait à un concours de circonstances. « J’ai échangé ma voiture avec un ami qui préférait le circuit plutôt que le Rallycross ! Et du coup, je suis passé de la coupe 206 au challenge Saxo…» . Depuis, Nicolas est logiquement devenu un des adeptes de la C2, toujours performant mais « sans pour l’instant pouvoir concrétiser, la faute à un manque certain de réussite… ».

Arnaud Deniau (12/08/69) – 53. Changé – N° 12

Grand passionné de voitures de sport, Arnaud Deniau est aussi sur la piste un véritable « gentleman driver ». Ses débuts, le mayennais les effectue en autocross régional « quand mon père est devenu sponsor de Laurent Terroitin. ». Très vite, il s’aperçoit que cette discipline devient pour lui plus onéreuse qu’attendue. « L’arrivée du Challenge C2 a été pour moi une vraie opportunité. Laurent [Terroitin] me prépare la voiture et la Formule me correspond bien… ». Finies donc les belles voitures de sport ! « J’ai tout vendu ! La maîtrise du sujet est désormais sur la piste. Mon comportement a changé, pour l’anecdote, depuis que je suis dans le Challenge, je n’ai pas pris la moindre contravention alors que je parcours plus de 150 000 km/an !  ».

Bertrand Divaret (30/04/80) – 61. Merri – N° 6

Son père était un féru de Rallyes régionaux « avec une Rallye 2 ». Lui, était plus attiré par le circuit et par le Rallycross en particulier « de part la proximité des épreuves ». Ainsi débute l’aventure de Bertrand Divaret en sport automobile et plus précisément par le Challenge Saxo en 2001. « Le format sprint des épreuves me convient bien. Le challenge est une excellente école de pilotage car nous sommes tous à armes égales… ». Son meilleur souvenir reste ainsi sa victoire avec la Saxo à Essay en 2003. Le moins bon en revanche : « m’être battu jusqu’au bout pour le podium général final l’an dernier et échouer malheureusement à la 6e place. Cela restera pour moi une grande désillusion… ».

Julien Eberlé (15/02/81) – 77. Courtry – N° 24

Mécanicien de formation, ce jeune francilien effectue cette année ses grands débuts en sport automobile. Un vrai débutant, sans aucune expérience de la course « si ce n’est que quelques épreuves en karting de location pour le compte d’un challenge inter-entreprises ». Son parcours est atypique et surtout, ambitieux ! « J’ai travaillé pendant 3 ans en assistance Rallycross chez Christian Lambert… avec au fond de moi, une très grande envie de courir !  ». Séduit par le challenge C2, Julien Eberlé a donc « cassé sa tirelire » pour disputer sa première saison de compétition au sein d’une formule qu’il qualifie lui même de « jeune, dynamique, attirante et abordable au niveau financier ! ». Et d’entrée de jeu, Julien s’est fait remarquer. Il est aujourd’hui l’un des plus rapides en performance pure, reste à lui d’acquérir un brin de régularité supplémentaire, gage de réussite en Rallycross.

Julien France (14/02/77) – 75. Paris - N° 25

Directeur d’une PME de transport, Julien France n’est pas un néophyte du sport automobile. Son père, Jean-Philippe - un des principaux animateurs à l’époque des coupes 104 et Samba en rallye – et son oncle, Pierre Alain – bien connu dans le petit monde du Rallycross pour ses innombrables perfs en D3 – lui ont transmis la passion de la course. «Plus encore que mon père c’est mon oncle qui m’a mis le pied à l’étrier », raconte Julien. «Il avait une structure et quand la coupe Saxo a vu le jour en 1997, il m’a bien aidé à débuter… ». Son meilleur souvenir, une victoire à Lohéac en 2001 «à l’occasion de la manche française du Championnat d’Europe devant plus de 55 000 spectateurs, un souvenir mémorable… », se souvient Julien. Puis un an avant que C2 ne remplace Saxo, Julien France s’est séparé de sa voiture de course et a changé d’horizons. Il est aujourd’hui de retour dans la catégorie – avec la voiture qui appartenait précédemment à Frédéric Souffez – pour « l’ambiance du challenge et surtout cette devise chère à André Péan : Rigueur, Sportivité et Convivialité… ».

Nicolas Gouriou (05/01/69) – 29. Hanvec – N° 7

Il y a des histoires qui ne s’inventent pas, des similitudes de la vie – réelles – qui mènent droit au Rallycross. « Je suis originaire du même village que Jean-Luc Pailler… et aussi, un véritable passionné du sport auto. Le pas était alors plus facilement franchissable… ». Après avoir « goûté » au Follcar pour débuter, Nicolas Gouriou se lance dans la foulée dans le bain des Formules de Promotion Citroën avec la Saxo (4 saisons consécutives). Vainqueur à Kerlabo en 2002, année où il termine également 3e du classement général final – son meilleur résultat jusque là – Nicolas, dans le paddock du Rallycross Français, est celui qui, au sein de sa structure familiale, cumule les fonctions. A la fois pilote-mécanicien-logisticien, le vainqueur de Faleyras 2005 se plaît dans la discipline. « Les courses sont très disputées, je prends du plaisir à piloter, nous avons tous les mêmes réglages, n’est-ce pas là l’essentiel ? ».

Ludovic Hamel (20/08/70) – N° 9

C’est au départ une exposition de voitures de course, organisée par l’écurie du Thymerais en Eure et Loire, qui, indirectement, plonge Ludovic Hamel dans la discipline. Il y a ensuite « l’ami Philippe Chanoine » qui, en fin connaisseur, va l’orienter. Entre 1998 et 2001, Ludovic « touche un peu à tout » et à toutes les catégories, y compris la Division 1 « l’espace d’une course » avant d’abdiquer, « faute de budget ». Année sabbatique en 2002 puis karting avec le Trophée Smile en 2003, Ludovic est depuis l’an dernier de retour en Rallycross « en challenge C2, la formule idéale côté budget !  ».

Anne-Sophie Lemonnier (22/06/83) – 35. Noyal / Vilaine – N° 16

Etudiante en faculté de droit où elle prépare une maîtrise, Anne-Sophie Lemonnier est avant tout la fille cadette d’Hervé Knapick. Bercée dès son plus jeune âge dans les paddocks de Rallycross ou « papa sévit depuis près de 20 ans », Anne Sophie a débuté l’an dernier en Challenge C2, après s’être essayée quelques mois auparavant au volant d’une saxo. « La coupe des dames, c’est génial. Axer cette formule de promotion vers les filles, que demander de mieux, Citroën l’a fait ! ». Et Anne-Sophie se fait plaisir, bien qu’au départ, elle ait moins l’esprit compétition que sa sœur Marie-Laure. Son objectif cet année, un podium « et si possible, en compagnie de ma sœur aînée. Le rêve non ? ».

Marie-Laure Lemonnier (23/09/81) – 35. Noyal / Vilaine – N° 15

Diplômée d’une Ecole supérieure de gestion et de commerce international à Paris, spécialisée dans le marketing et la communication, Marie-Laure Lemonnier est une « spectatrice privilégiée du Rallycross depuis plus de 15 ans ». Fille aînée d’Hervé Knapick, sœur d’Anne-Sophie, Marie-Laure est aussi une grande passionnée. « Spectateur c’est une chose… mais lorsqu’on peut devenir acteur, c’est encore mieux ! En 2003, ma sœur et moi avons partagé une Saxo mais ça n’a pas duré ! ». Et du coup, lorsque le Challenge C2 a vu le jour l’an dernier, nous avons franchi le pas toutes les 2. « La course en famille, c’est notre graal… ». Son seul regret aujourd’hui, et il est réciproque, « ne pas être montée sur un podium en compagnie de ma sœur », souligne celle qui l’an dernier s’est imposée à Lohéac pour la toute première fois de sa jeune carrière…

Stéphanie Anne (17/03/1977) – 28. Nogent le Rotrou – N° 5

Fille de Michel – qui a mis un terme à sa carrière en fin de saison dernière après 27 ans de Rallycross – Stéphanie Liger n’est donc pas arrivée par hasard dans la discipline. « J’ai passé ma jeunesse dans les paddocks. Et puis un jour, je me suis dit : pourquoi pas moi ? , en voyant les courses réservées aux féminines dans le cadre du Challenge Citroën ». Ainsi en cours de saison 2003 débute l’aventure pour Stéphanie. « Après avoir pris des cours de pilotage et acquis une Saxo pour un prix abordable, j’ai participé aux deux dernières épreuves ». Ce coup d’essai ne restera pas sans suite puisque dans la foulée, celle qui avant la fin de l’année deviendra Madame Olivier Anne, investit dans une C2. Première course et premier podium à Kerlabo début 2004. Depuis Stéphanie progresse chaque week-end « au sein d’une formule idéalement structurée pour le faire ». Son objectif : «Tenter d’en gagner une avant la fin de la saison 2005… ».

Eric Maillard (04/08/78) – 72. Le Mans – N° 11

Originaire de Lorraine, Eric Maillard a longtemps suivi les Rallyes en spectateur avec son père et son frère. « J’étais énervé de les voir courir ! », plaisante t’il aujourd’hui, maintenant que lui aussi assouvit sa passion. « Du Rallycross, je ne connaissais que Lunéville, et de la mécanique, pas grand chose… ». C’est ensuite dans une publicité dans la revue spécialisée « Echappement » qu’Eric Maillard apprend que Citroën organise un Challenge en Rallycross. « C’était en 2003, Laurent Chartrain vendait sa Saxo. Nous avons rapidement fait affaires et de là est partie l’aventure. Puis j’ai monté une C2 l’an dernier et depuis, je me régale… », raconte celui qui a signé la pôle position à Faleyras en début de saison. Pris par son travail, Eric n’a pas vraiment le temps de se consacrer comme il le souhaiterait à la discipline mais s’est déjà juré de s’organiser autrement l’année prochaine…

Alexandre Mollard (02/08/85) – 69. Charbonnières les bains – N°17

Le benjamin du plateau est Lyonnais… avec déjà derrière lui une grande expérience en Karting. Après 9 années de compétition au niveau régional puis national, avec de beaux trophées en poche, Alexandre Mollard se tourne logiquement vers l’automobile. « La monoplace était un souhait, mais irréalisable pour moi côté budget… ». C’est alors qu’il fait la connaissance de Jean-Jacques Guibal – la voix du Rallycross – lequel lui parle de la discipline. Delors, tout s’enchaîne très vite. « Tout juste mon permis de conduire en poche, j’ai débuté avec la C2 en 2004 à Kerlabo ». Pas vraiment un bon souvenir pour lui ! « Premier tour et premier tonneau… ça calme d’entrée ! », rappelle t’il. Mais l’apprentissage et l’expérience ne font-ils pas partie du jeu au sein des Formules de Promotion ? « Evidemment et ce n’est pas tout » souligne Alexandre. « C’est une école à part entière, où l’ambiance est fort sympathique malgré l’esprit de compétition qui nous traverse tous… ».

Véronique Patier (28/11/80) – 87. Saint-Julien – N° 10

« Merci papa » est lisiblement inscrit sur le capot moteur de Véronique. C’est ainsi que la fille d’André Patier – qui sévissait dans la discipline il y a 20 ans – tient doublement, et à juste titre, à remercier son paternel. « Pour m’avoir transmis le goût de la compétition… et en me permettant aujourd’hui d’assouvir cette passion transmise… ». Véronique compte parmi les principales animatrices de la coupe des dames, avec déjà un solide bagage. « J’ai débuté en Cross Car à tout juste 16 ans. Puis il y a 3 ans, j’ai été séduite par la Formule de Promotion que proposait Citroën », raconte t’elle. Et d’entrée de jeu, Véronique s’affirme avec la Saxo, comme en atteste notamment sa première victoire à Essay en 2003. L’an dernier, avec la C2 cette fois ci, elle s’est encore imposée à Essay – et à Kerlabo - mais à manqué de peu le titre à Dreux lors de la dernière course, « une mésaventure qui restera sans doute comme mon plus mauvais souvenir en compétition ».

Bertrand Perraudin (16/11/64) – 58. Château-Chinon – N° 4

Tout juste le permis en poche, un copain lui revend à l’époque « la voiture idéale pour débuter ». Douze années de 2Cv Cross – dont un titre obtenu en 1990 – et un an et demi de Cross Car, voici pour résumer la carrière de Bertrand Perraudin avant qu’il ne fasse son entrée au sein des Formules de Promotion Citroën il y a 7 ans. « Au départ, j’ai acheté une Saxo pour faire le Trophée Andros. J’adorais la terre, logique donc que je me sois ensuite tourné vers le Rallycross ». Dans le paddock, Bertrand est sans aucun doute l’un des plus fidèles « lieutenants » des Formules de Promotion de la Marque au chevron. « J’ai toujours été Citroën depuis des années, il n’y a pas de raisons pour que cela change aujourd’hui… ».

Catherine Planche (22/06/76) – 75. Paris – N° 18

Ses parents couraient ensemble en Rallye. Puis son père, pilote éclectique par excellence, s’est tourné vers le Rallycross. « Cette passion m’est donc venue tout naturellement », affirme Catherine Planche, la reine incontestée de la coupe des dames depuis 2003. Elle aussi dispose aujourd’hui d’un bagage sport mécanique sympathique. 5 ans de karting, puis autant de saisons en rencontres Peugeot Sport avant qu’elle ne fasse ses débuts avec la Saxo en 2003. « Vu que Citroën proposait une catégorie réservée au féminines, je n’ai pas hésité un seul instant. D’autant que la formule est très accessible financièrement », précise Catherine, qui cette année a déjà remporté les deux premières courses de la saison à Essay et à Faleyras.

Patrick Portier (20/01/51) – 80. Estrées / Noye – N° 32

Difficile d’évoquer le nom de Patrick Portier sans avant tout rendre hommage au regretté Fabien Peauchet, jeune prodige du karting français qui pour ses débuts en automobile avait littéralement bousculé la hiérarchie en Challenge Saxo Rallycross. Depuis sa tragique disparition dans un accident de la circulation, Patrick – son père mais aussi mentor, mécanicien… etc. - à besoin comme il le dit lui même « de s’occuper la tête et l’esprit. Cela fait maintenant quatre ans que je roule, j’ai gardé les mêmes couleurs, la même décoration et le même numéro de course que celui de Fabien ». Champion de France Groupe N de la Montagne ( 2e division) en 1990 et 92, Patrick est aujourd’hui devenu un grand fidèle des Formules de Promotion Citroën.

Bernard Riou (28/12/51) – 29. Riec / Belon – N° 8

Dans le paddock, Bernard Riou est surnommé le « vieux menhir » par André Péan, le responsable du Challenge C2 Rallycross chez Citroën Sport. Pourquoi un tel surnom ? Tout simplement par sa fidélité, sa longévité dans la formule – il a connu la glace dès 1996 avec la Saxo avant de passer en Rallycross depuis 1997 - et surtout, par ses performances toujours « vaillantes » en compétition, pour preuve, son podium obtenu en ce début de saison 2005 à Faleyras ! « J’aime me battre contre les jeunes qui en veulent !  », précise Bernard. « A chaque course, nous sommes une vingtaine de pilotes groupés dans la même seconde, le spectacle est superbe. Lorsque les C2 sont en piste, il n’y a personne à la buvette », plaisante t’il. « Je me régale et tant que ce sera le cas, je serai toujours là… », rappelle t’il avec son enthousiasme légendaire.

Aurélie Salviat (23/02/81) – 85. Limoges – N° 27

Nouvelle arrivante chez les féminines, venue de la Coupe de France des Rallyes, Aurélie Salviat s’est essayée au sport automobile « par passion héréditaire ». Etudiante en faculté de sciences, Aurélie a souhaité suivre les traces de son père – pilote d’autocross, de course de côte puis de Rallye – parce qu’elle l’a au début copiloté. « Etre passager procurait déjà des sensations, mais au volant rien de comparable … ». Après 2 saisons de rallye amateur « où le problème était de garder la même copilote à cause des emplois du temps », Aurélie s’est tournée cette année vers le Rallycross « après un essai réussi sur le circuit de Châteauroux ».

Frédéric Souffez (31/03/77) – 29. Pont Aven – N° 29

C’est en Rallye régional avec une Saxo Groupe N que Frédéric Souffez fait ses débuts en sport automobile. Après quatre saisons et malgré quelques « bonnes victoires de classe », Frédéric doit cependant arrêter, faute de budget. Ce sont ensuite les frères Riou qui lui permettent de faire ses premiers tours de roues en Rallycross avec une Saxo. « Rigueur, équité et convivialité, les maîtres mots du challenge, me conviennent parfaitement », précise Frédéric. Amateur par excellence, le breton a l’an dernier investi dans une C2 malgré un budget limité. « J’arrive à faire une saison avec le même train de pneu. Idem pour le moteur où nous le révisons entièrement qu’une fois l’an… ».

Guillaume Triquet (06/01/83) – 95. Argenteuil

Ancien gymnaste de haut niveau – Champion de France au sol en 1991 – Guillaume Triquet s’est lancé en Rallycross, comme beaucoup d’autres pilotes, par passion de l’automobile et par filiation. « Mon père courrait dans la discipline et j’ai eu envie de faire la même chose… », témoigne le parisien. « J’avais fait un peu de challenge Yamaha en Karting mais j’ai toujours été attiré par l’automobile », précise t’il.  C’est ainsi qu’il débute en Saxo Rallycross en 2003, « la Formule idéale côté budget ». Adepte désormais de la C2, ses premiers tours de roues n’ont cependant pas été faciles, l’anecdote fait aujourd’hui partie des souvenirs. « J’ai effectué 5 tonneaux à Kerlabo lors de la toute première course l’an dernier… je ne pouvais pas faire mieux – ou pire - pour commencer la saison… ».

Nicolas Vajsman (01/08/78) – 92. Asnières – N° 21

C’est en première année de BTS que Nicolas Vajsman sympathise avec Stéphane De Ganay. « En un an, plus que des copains, on est devenu des super amis », rappelle Nicolas. Puis d’une passion commune, l’automobile, et plus particulièrement la compétition, les « deux complices » se sont attachés à monter un véritable projet. « Sans vraiment connaître, nous nous sommes lancés dans un truc de fous. En un mois, on a démarché des partenaires, acheté une voiture, trouvé un Jumper et une remorque, et sommes partis avec nos toiles de tente… ». Racontée, l’histoire est touchante, vécue sans aucun doute plus captivante, les deux hommes ont en tout cas franchi des frontières qu’ils ne connaissaient pas jusque là et mis sur pieds « une organisation source de motivation d’entreprises autour d’une discipline attrayante et abordable qu’est le Rallycross… ».

Samuel Peu (30/03/82) – 44. Varades – N° 1

C’est en feuilletant le catalogue des Formules de Promotion Citroën dans l’accueil du garage familial à Varades – ses parents sont agents de la Marque - que Samuel Peu se découvre une nouvelle occupation… voire une vocation. Ainsi Samuel investit dans une Saxo et disputera 4 saisons de Rallycross, avant d’acquérir l’an dernier une C2. Sa première victoire décrochée à Lohéac dans le temple du Rallycross reste pour lui un souvenir inoubliable. « S’il y a une course à gagner, c’est bien celle-ci, tant il y a du monde et des spectateurs partout !  » raconte Samuel qui a manqué « De peu, excusez le jeu de mot », le titre l’an dernier. Il fait cette saison parti des grands favoris, bien conscient que le vainqueur, réglementairement, ne pourra revenir l’an prochain . « Je ne suis pas le seul dans ce cas là mais je n’aime pas la 2e place. Gagner est cette année une priorité, pour ensuite espérer gravir les échelons de la discipline… ».

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